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Par maryn le 11 Décembre 2009 à 23:58
Choisis le moment favorable pour agir, lorsque les éléments concordent, s'assemblent comme une route ouverte et favorisent ton action.
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Par maryn le 8 Décembre 2009 à 20:56
l'ami des hommes est aussi l'ami des sources, des plantes et des animaux.
c'est d'ailleurs à cela qu'on le reconnaît.
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Par maryn le 7 Décembre 2009 à 22:20
Et ésotériquement regonflée à bloc....
Plein de choses à partager avec vous, je vous en parlerai plus longuement dès demain.
Aujourd'hui, je vous fait découvrir l'un des préceptes de vie de la sagesse druidique :
Ne perds pas de vue l'étoile qui guide ta vie.
Considère là comme ton propre esprit, mystérieux et lointain
et pourtant relié à toi par le fil de la pensée.
Parle lui, évoque là
et elle se rendra présente, bienfaitrice,
assurant tes pas comme une torche dans la nuit.
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Par maryn le 3 Décembre 2009 à 20:13
Range le livre, la description,
la tradition, l'autorité, et
prend la route pour
découvrir toi- même...
J. Krishnamurti.
Comme vous le savez, je suis à Rennes ce week end, comme je serai assez occupée, j'aurai peu de temps pour vous écrire sur le blog, je vous souhaite donc un excellent week end.
à Lundi.
Maryn.
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Par maryn le 27 Novembre 2009 à 20:08
Une chanson, inspirée par les nombreux habitants de notre Terre, qui visitent ce blog.
Merci à tous.
L'amitié
Beaucoup de mes amis sont venus des nuages
Avec soleil et pluie comme simples bagages
Ils ont fait la saison des amitiés sincères
La plus belle saison des quatre de la Terre
Ils ont cette douceur des plus beaux paysages
Et la fidélité des oiseaux de passage
Dans leurs cœurs est gravée une infinie tendresse
Mais parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse
Alors, ils viennent se chauffer chez moi
Et toi aussi, tu viendras
Tu pourras repartir au fin fond des nuages
Et de nouveau sourire à bien d'autres visages
Donner autour de toi un peu de ta tendresse
Lorsqu'un autre voudra te cacher sa tristesse
Comme l'on ne sait pas ce que la vie nous donne
Il se peut qu'à mon tour je ne sois plus personne
S'il me reste un ami qui vraiment me comprenne
J'oublierai à la fois mes larmes et mes peines
Alors, peut-être je viendrai chez toi
Chauffer mon cœur à ton bois
Françoise Hardy
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